Interrogé par RFI sur la question de la cherté de la vie liée à l’augmentation des prix des denrées de première nécessité, Bah Oury salue certes les efforts du secteur privé, mais il reconnaît qu’ils sont insuffisants. « Heureusement, nous avons un secteur privé, notamment la chambre de commerce qui est relativement proactive et qui a pris bonne note de la nécessité, surtout dans cette période difficile du Ramadan, de baisser les prix de certaines denrées de première nécessité. Je reconnais que c’est peu par rapport à ceux qui n’ont pas suffisamment de ressources. Mais là aussi, comme l’a dit le général Mamadi Doumbouya, le social doit être une préoccupation majeure. Nous sommes en train de nous atteler à trouver des solutions, avec certainement, l’apport de la coopération bilatérale et multilatérale » a répondu Bah Oury.
